Une pièce écrite par Joseph Andras, mise en scène par Fabrice Henry et interprétée par les artistes du Collectif Satori.
En 1956, Fernand Iveton, militant pied-noir du PC algérien, combattant pour l’indépendance de son pays, l’Algérie, pose une bombe dans un local vide de son usine : l’explosion est prévue après la fin du travail pour ne blesser personne. La bombe n’explose pas mais il est arrêté, torturé, et condamné à la peine capitale. Il sera guillotiné, François Mitterrand, alors ministre de la « Justice », ayant refusé sa grâce.
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On ne peut que recommander la lecture du livre de Jean-Luc Einaudi (avec une préface de Pierre Vidal-Naquet) paru la première fois à L’Harmattan, en 1986, et qui brisa le silence, y compris à gauche, sur ce crime d’Etat : Pour l’exemple, l’affaire Fernand Iveton
Sur la photo : Le camarade Iveton (au milieu) avec sa famille