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Le poing rouge du 23 septembre 2011

Agenda militant :

  • Journée de grève dans l’Éducation Nationale : mardi 27 septembre. Nous ferons un tractage sur point fixe NPA en début de manif (tract ci-joint). Rendez-vous devant le porche du castillet à 11h. (AG à 9h pour les grévistes au hall Guy Malé quai sadi carnot)
  • RESF : soirée de soutien aux familles sans-papiers soutenues par le RESF 66. Cette soirée aura lieu le samedi 1er octobre, à partir de 21h00, au Crockmore (Avenue Torreilles - Zone industrielle la Vigneronne 66000 Perpignan (derrière la gare, à côté du Tremplin). Première partie : VIOLETA DUARTE Salsas, musiques sud-américaines Deuxième partie : SOUL JAMAICA, musiciens des 100 Grammes de Tête
  • Sortir du nucléaire : Action prévue le samedi 15 octobre quai Vauban à Perpignan (heure à préciser) dans le cadre de la journée nationale de manifestations inter-régionales pour l’arrêt du nucléaire.

Formation :

nous avons décidé de renouer avec la tradition des « formations du samedi » ! Un camarade présentera un topo de formation suivi d’un débat puis d’un repas convivial tiré du sac. Bien sûr, ce n’est pas réservé aux militants mais bien ouvert à toutes celles et ceux qui sont intéressés. Faites-donc circuler l’info sans modération ! Pour la première formation de l’année, le thème de la formation présentée par Gérard est :

Partis et syndicats

Rendez-vous donc le samedi 5 novembre à 10h au local du NPA66, 27 rue Arago à Perpignan.

Communiqué du NPA66 :

Accident nucléaire de marcoule : la sortie du nucléaire, seule solution face aux risques de catastrophe

L’explosion lundi d’un four servant à fondre des déchets radioactifs sur le site nucléaire de Marcoule, dans le département proche du Gard, a fait plusieurs victimes et entraîne, de l’aveu même des autorités préfectorales, un risque de fuite radioactive. Cette explosion rappelle brutalement, à nos portes mêmes, les dangers inhérents à cette industrie mortifère, démentant les déclarations du gouvernement et du lobby nucléaire qui persistent à les nier.

Le NPA réaffirme son opposition au nucléaire, qu’il soit civil ou militaire. Il revendique une sortie du nucléaire en dix ans et la création d’un service public de l’énergie, géré par les usagers et les salariés, qui permette de réduire la consommation et développer les énergies renouvelables.

Le 12 septembre 2011

Campagne présidentielle :

Déclaration de Philippe Poutou. Fillon pour la retraite à 67 ans

La crise économique et la dette souveraine servent d’alibi aux plans d’austérité, aux mesures anti-sociales à répétition. En Grèce mais aussi en France. Nous en avons une fois de plus la preuve avec la récente déclaration de F. Fillon. Le premier ministre en exercice, sous couvert d’harmonisation avec l’Allemagne au niveau fiscal et social, vient de jeter un pavé dans la mare en programmant un recul supplémentaire pour l’âge de départ légal à la retraite : à 67 ans, puisque c’est ce qui est prévu par la réforme votée en 2007 en Allemagne.

Cette nouvelle provocation qui vise à satisfaire les agences de notation et les marchés financiers est une véritable insulte à l’égard des salariés et des couches populaires qui subissent déjà une grave détérioration de leur niveau de vie à cause du chômage, de la précarité et de la hausse des prix dans de nombreux domaines.

La campagne présidentielle qui s’ouvre ne doit pas empêcher le mouvement social de riposter massivement pour faire barrage à cette nouvelle dégradation de notre droit à la retraite dans de bonnes conditions. Pour le NPA, le retour à la retraite à 60 ans, à taux plein, pour 37, 5 annuités de cotisations, c’est possible avec une autre répartition des richesses.

Le 22 septembre 2011.

Vidéo sur NPATV :

Philippe Poutou aux « 4 vérités » de France 2 (le 19 septembre) http://www.npa2009.org/npa-tv/all/a…

Communiqués du NPA :

Travail forcé sous peine de sanctions.

Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités, va lancer une nouvelle expérimentation : des contrats aidés pour les bénéficiaires d’un RSA imposant 7 heures de travail hebdomadaire, sous peine de sanctions financières. 10 000 titulaires du RSA sont concernés dans un premier temps pour un gain 130 euros en plus par mois. Le travail forcé en échange d’une bouchée de pain.

Un pouvoir qui se disait de « gauche » a mis en place le RMI sous prétexte qu’il n’y avait pas de travail pour tout le monde. Le gouvernement de droite actuel va obliger ces mêmes personnes à travailler. Mais quel travail ? Du travail, il y en a dans les hôpitaux, les écoles, les services publics, l’entretien des voiries, entre autres, ce qui nécessite une vraie formation, un vrai statut, un vrai salaire.

Le combat contre le chômage, la précarité qui en fait servent à faire baisser le coût du travail et à dégrader les conditions de travail, continue. Il suppose de réduire massivement le temps de travail afin de travailler toutes et tous et de garantir à chacun-E-s le droit à un revenu décent à 1600 euros net.

Le 23 septembre 2011.

Baisse des indemnités maladies : les malades étranglés

Augmentation des cotisations mutualistes conséquence de la taxation des mutuelles, augmentation de la CSG, cela ne suffit pas pour le gouvernement ! Dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2012, il en rajoute une couche : les indemnités journalières vont diminuer.

Environ 30% des malades en arrêt de travail ne bénéficient pas du maintien du salaire. Jusqu’à présent ils percevaient 50 % du salaire brut. C’est encore trop pour les amis de Sarkozy : les indemnités journalières seront calculées sur 60 % du salaire net. Une perte d’un euro à un euro vingt pour les smicards, selon Xavier Bertrand. Grossière manipulation ! Il oublie de préciser que la perte est quotidienne. Sur un mois un malade au SMIC verra ses indemnités diminuer d’au minimum 30 euros alors qu’ils ne percevait que la moitié de son salaire de misère.

La répartition du temps de travail avec création d’emplois, l’augmentation des salaires, l’abolition des exonérations de cotisations, le paiement des dettes patronales et de l’État, la nationalisation de l’industrie pharmaceutique dans le cadre d’un service public de santé : avec ces mesures non seulement il ne serait plus question de « déficit », mais ces mesures permettraient de bénéficier de la santé gratuite et de la retraite à taux plein dès 60 ans.

Il ne faut pas les laisser faire ! Le NPA propose aux syndicats, aux associations, aux partis de gauche de préparer dès maintenant, dans l’unité, une large mobilisation lors du débat parlementaire sur le PLFSS.


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